Les propositions

Les propositions indépendantes ,
Les propositions principales , Les propositions subordonnées
 
Les propositions indépendantes
Une proposition est dite indépendante quand elle ne dépend d'aucune autre. Elle se compose généralement d'un sujet, d'un verbe et d'un complément. Elle peut cependant ne contenir qu'un verbe. Une proposition indépendante peut être reliée à une autre proposition indépendante grâce à une conjonction de coordination ( mais, ou, ni, et, car, or donc).
Exemples : 
Je parle français.
=> sujet + verbe + complément.
Cours !
=> verbe à l'impératif.
Je parle et je lis le français.
=> 2 propositions indépendantes reliées par et.
Les propositions principales
Dans une phrase, la proposition principale est la proposition dont dépendent d'autres propositions (les propositions subordonnées) qui, elles, complémentent son sens. La proposition principale peut (1) débuter ou (2) finir une phrase. Elle peut aussi se trouver placée au-milieu de propositions subordonnées (3). Le choix de la place des propositions est une question de style.
Exemples : 
1. Je mange parce que j'ai faim.
=> Je mange est la proposition principale.
2. Quand ils le peuvent, ils écoutent leur ami.
=> ils écoutent leur ami est la proposition
=> principale.
3. Si je suis toujours en vie, j'aurai 67 ans quand Gabriel en aura 20.
=> j'aurai 67 ans est la proposition principale.
Les propositions subordonnées
Les propositions subordonnées dépendent d'une proposition principale. Des éléments des propositions subordonnées permettent de les classer. Elles sont presque toujours introduites par un mot. Elles peuvent être interrogatives, indirectes ou relatives (1) ; elles peuvent se classer par leur fonction (complétives ou circonstancielles) (2) ; le mode du verbe peut aussi les définir (participiales ou infinitives) (3).
Exemples : 
1. Je suis fascinné par l'homme parce qu'il pense.
=> parce qu'il pense est une proposition circonstancielle de cause.
2. Que tu travailles ne fait aucun doute.
=> Que tu travailles est une proposition complétive sujet.
3. Fatigué par 40 années de travail, il aspire à sa retraite.
=> Fatigué par 40 années de travail est une proposition participiale.
Exercices (educaserve)
Comment reconnaître les propositions indépendantes ; la phrase simple ; la phrase complexe

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