La bouchère-charcutière
Coucou, regarde. Tu la prends ?
Le présentateur
En Alsace la tradition se perpétue. Chaque enfant reçoit toujours son bout de saucisse. Petit-fils et fils de boucher, Michel Burg a le métier dans la peau. Il fait tout pour partager sa passion avec ses apprentis malgré les difficultés.
Michel Burg, boucher-charcutier
C'est un métier où on a un peu de mal à recruter, à trouver des jeunes pour apprendre le métier. On a peut-être une image de marque un peu négative, euh...
Le présentateur
Une image fausse, celle du tueur sanguinaire car aujourd'hui la boucherie est bien plus un métier de transformation. Parfois, il suffit d'essayer pour trouver sa voie. C'est le cas d'Olivier en première année d'apprentissage après un parcours atypique.
Olivier, apprenti 1ère année
D'abord, j'ai passé mon bac. Ensuite, je suis allé en fac. Mais ça ne me correspondait pas trop. Ça ne me plaisait pas vraiment. Alors, j'ai fait ce que je voulais faire.
|
| Le présentateur
Et, depuis bientôt un an, conscient des débouchés offerts par la profession, Olivier a choisi. Il a choisi un métier avant tout au service de clients toujours plus exigeants. A quelques mètres du laboratoire, le magasin. Pour les consommateurs, il est nécessaire d'avoir la plus grande variété possible, ne serait-ce que pour, enfin, avoir la bonne idée.
Une première cliente
Le matin, on [ne] sait pas encore quoi cuisiner, puis, tout à coup, ça nous vient à l'idée. Puis, on va à la boucherie. Puis, on voit toute cette belle exposition-là. Et puis, alors, on a envie d'acheter.
La bouchère-charcutière
On est sûre d'avoir ce qu'il faut. Voilà ! On, on reçoit toujours des compliments. Pour le boucher... pour la cuisinière... Mais, d'abord, il faut la qualité.
Le présentateur
Si vous aimez la viande, demain, c'est un peu votre fête ; les boucheries de France vous ouvrent leurs portes « 24 heures chez mon boucher » une opération de séduction qui est aussi une campagne de recrutement.
|